Silence a demandé à une militante du groupe de Saint-Etienne du Front uni des immigrations et des quartiers populaires (FUIQP) pourquoi, à son avis, peu de personnes issues de l’immigration participent aux luttes écologistes. Son retour sur l’histoire des luttes anticoloniales en France illustre comment une population stigmatisée et discriminée socialement ne peut pas avoir la même histoire et les mêmes préoccupations militantes que les personnes qui jouissent des privilèges raciaux dans notre société.