C’est dans une vieille bâtisse à étage, face au pont des Jacobins, au Mans, qu’est installée, depuis 2004, l’Epicerie du pré. A 10 minutes à pied du centre, la « cantine » est excentrée juste assez pour être au calme.
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C’est dans une vieille bâtisse à étage, face au pont des Jacobins, au Mans, qu’est installée, depuis 2004, l’Epicerie du pré. A 10 minutes à pied du centre, la « cantine » est excentrée juste assez pour être au calme.
Catherine Dubourg et Thierry Baffou, anciens enseignants, ont développé un écolieu qui présente de très nombreuses alternatives dans les domaines de l’énergie, de l’habitat sain et des pratiques artisanales et artistiques. Les visiteurs sont nombreux…
A La Flèche, dans la Sarthe, se trouve un magasin de vélos qui présente l’avantage de proposer aussi bien des vélos classiques que des vélos électriques ou des vélos couchés. Ces derniers ont un bel avenir devant eux.
Depuis 2008, au Mans, plusieurs compagnies de cirque se sont regroupées en association pour promouvoir leurs activités et organiser des festivals et interventions en milieu rural.
« La lenteur de la marche, sa régularité, cela allonge considérablement la journée. Et en ne faisant que mettre un pied devant l’autre, vous verrez que vous aurez étiré démesurément les heures. De sorte qu’on vit plus longtemps en marchant, au sens où dans la marche, le temps ralentit, il prend une respiration plus ample. » (1)
Il existe d’autres façons de se déplacer à un rythme naturel que le vélo ou la marche. Il est par exemple possible de longer les côtes en kayac ou de descendre une rivière dans un canoë ou sur un radeau. Ou encore de voyager en voilier.
Le monde s’est refermé. La capacité effective de se déplacer sur toute la planète clôt par là même une ouverture, celle du possible, de la rencontre, du hasard.
Il n’y a pas qu’une seule manière de voyager. Si l’article précédent invite à inventer les chemins de la rencontre en sortant des sentiers battus, celui-ci propose une réflexion sur les nouvelles manières de construire le lien entre touristes et habitants, sans négliger l’organisation et la préparation de son périple. Un acteur de ce tourisme « de partage » analyse cette évolution à partir de son territoire, le Trièves, en Isère.