« C’est grâce à la vie dans les océans que l’oxygène a été produit sur terre. » Et ce n’est pas rien de garder à l’esprit ce rappel que nous adresse le chercheur Gilles Reverdin (1). Sans océan, nous n’aurions pas existé.
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« C’est grâce à la vie dans les océans que l’oxygène a été produit sur terre. » Et ce n’est pas rien de garder à l’esprit ce rappel que nous adresse le chercheur Gilles Reverdin (1). Sans océan, nous n’aurions pas existé.
Certains lecteurs reprochent à Silence souvent d’être trop négatif, alors, en publiant ce qui suit, on les entend déjà râler ! Nous nous excusons auprès d’eux, mais nous avons pensé qu’il était utile de jeter un œil à la poussière accumulée sous le tapis, autrement dit : à toutes les perturbations causées par nos sociétés sur un univers sous-marin qu’il est aisé d’ignorer.
Que ce soit au supermarché ou chez le boucher, la viande provient presque exclusivement d’élevages. Le poisson, lui, est encore souvent d’origine sauvage. Peu visible, l’élevage de poissons est pourtant très répandu dans le monde. Avec quelles conséquences ? D’Oléron à la Chine, enquête.
Des règlements internationaux complexes et peu respectés, un espace maritime gigantesque, des pressions économiques de la part des industriels de la pêche : que faire pour enfin protéger les écosystèmes marins ? De l’activisme militant aux décisions politiques, voici quelques éléments de réponse.
Les définitions usuelles du « terrorisme » renvoient aujourd’hui aux actions violentes de groupes visant à déstabiliser une société ou un État. Étymologiquement, le mot désignait pourtant, à la Révolution française, la doctrine des partisans de la Terreur... une politique d’État. Il n’y a aucune raison de (...)
En ce matin d’août, nous sommes en pleine récolte des figues. Danielle Batard nous reçoit dans son verger où, tout en répondant à nos questions, elle trie, calibre et emballe la récolte de la matinée.
L’autonomie peut passer, pour une partie, par la connaissance et l’usage des plantes sauvages. Moutsie a développé en ce domaine un savoir qu’elle partage aujourd’hui à travers stages et ouvrages.
Nombre d’activités agricoles disparaissent par manque de repreneur. Ce n’est pas le cas de la famille Burri qui, après trente-sept ans d’activité, favorise l’installation de plusieurs pépiniéristes en bio.