Devenir végéta*ien est un cheminement. Il faut savoir se laisser du temps, parvenir à identifier clairement ce qui nous empêche d’y accéder et le dépasser.
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Devenir végéta*ien est un cheminement. Il faut savoir se laisser du temps, parvenir à identifier clairement ce qui nous empêche d’y accéder et le dépasser.
Plus que le transport, l’élevage et la production de viande sont un des principaux secteurs responsables d’émission de gaz à effet de serre (GES) au niveau mondial. Est-ce à dire qu’il faut supprimer totalement la viande de notre assiette pour ralentir le réchauffement climatique ?
Certains écologistes optent pour consommer moins de viande, d’autres plus du tout. Cet article rappelle les principaux arguments évoqués par les végéta*ien-ne-s pour appuyer leur choix de ne plus consommer de viande, de poisson ou de produits animaux.
Voici quelques arguments qu’entendent souvent les végéta*iens, régulièrement sommés par leur entourage de justifier leurs choix alimentaires hors des habitudes établies.
Témoignage d’un écologiste qui se pose des questions sur son régime alimentaire et sur les compromis entre exigences personnelles, politiques, sociales, écologiques…
Jusqu’à maintenant, à chaque exploitation d’une nouvelle forme d’énergie, nous en avons toujours profité pour consommer plus. Cela peut-il s’arrêter avec l’arrivée massive des énergies renouvelables ?
Au début des années 1990, Silence publiait un hors-série sur les énergies renouvelables (1) qui s’ouvrait par un rappel des atouts de ces énergies. Il est bon de s’en souvenir pour ensuite analyser ce qui se passe actuellement.
Les mouvements d’écologie politique ont, de tout temps, soutenu les initiatives en faveur des énergies renouvelables. Mais aujourd’hui, force est de constater que cela ne suffit pas pour aller vers une société plus écologique.