A quoi ressemble une vie de collégienne dans une société phagocytée par les écrans ? C’est ce que racontent des membres du collectif Un projet de décroissance dans un récit qui s’inspire de la vie quotidienne. Silence en publie quelques extraits.
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A quoi ressemble une vie de collégienne dans une société phagocytée par les écrans ? C’est ce que racontent des membres du collectif Un projet de décroissance dans un récit qui s’inspire de la vie quotidienne. Silence en publie quelques extraits.
La numérisation est censée apporter une dimension interactive à l’enseignement, aider à motiver les élèves, lutter contre les inégalités… Mais il existe de nombreux moyens d’atteindre ces objectifs sans passer par le numérique.
Perché dans les collines, à 900 mètres d’altitude, entre garrigues et champs de lavandes, Éourres est un petit village isolé d’environ 130 habitant-es. Il est réputé pour ses engagements écologistes. Aujourd’hui, on y trouve 9 exploitations agricoles, toutes en bio : élevages d’ânes, de brebis, de (...)
A partir de 2005, un centre qui forme chaque année une trentaine de boulanger-es bio s’est développé. Une école unique qui rencontre un grand succès.
Le Gabion est une association créée en 1993 avec deux pôles d’activités : un chantier d’insertion et un centre de formation. Ces deux pôles interviennent dans deux domaines : la restauration du patrimoine et l’écoconstruction.
Depuis 2005, le mensuel L’âge de faire est diffusé largement pour mettre en avant la possibilité de changer la société par le bas, en s’appuyant sur l’écologie et la citoyenneté.
A Puy–Saint-André, commune voisine de Briançon, Pierre Leroy, maire EELV, réussit, étape après étape, à faire changer les pratiques du nord du département des Hautes-Alpes. La preuve qu’il est possible de déplacer les montagnes !
Les coopératives de Longo Maï (« que cela dure longtemps » en occitan) sont des îlots de résistance aux dérives totalitaires du capitalisme. Elles ont pour point commun d’agir pour la liberté de circuler des personnes. Les activités artisanales qu’elles développent permettent une autonosmie des artisan.es dans leur pratique professionnelle et leur offrent une certaine liberté pour des activités extérieures.