« Mieux vieillir que dans d’autres situations d’habitat (dans son domicile traditionnel, en institution), tel est le défi relevé par l’habitat participatif », note la chercheuse Anne Labit. Mais quelles en sont les conditions ?
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« Mieux vieillir que dans d’autres situations d’habitat (dans son domicile traditionnel, en institution), tel est le défi relevé par l’habitat participatif », note la chercheuse Anne Labit. Mais quelles en sont les conditions ?
C’est une utopie devenue réalité : un immeuble entièrement conçu et autogéré par ses habitant·es, des personnes retraitées, à Vaulx-en-Velin, près de Lyon. Un projet militant.
Deux médiatrices engagées dans le suivi de groupes de cohabitant·es témoignent de leur expérience et pointent du doigt quelques écueils à éviter pour ce type de projet.
Les récentes découvertes autour des arbres forment un univers fascinant.
À travers quelques exemples et anecdotes, en voici un échantillon.
L’exploitation des forêts vit une intensification sans précédent, surtout pour la récolte du bois énergie. Tout cela au nom de postulats qui, à force d’être répétés, semblent aussi évidents qu’incontournables : le bois serait un combustible abondant et écologique.
L’arbre, l’évaporation, le sol jouent dans le climat un rôle déterminant, qui dépasse largement la question des émissions de gaz à effet de serre habituellement mise en avant.
L’agriculture n’est pas forcément synonyme de déforestation. L’arbre, au contraire d’autres plantes, comporte une vaste surface aérienne et souterraine. Les plantes et les arbres peuvent donc partager l’espace dans une logique de complémentarité, ce qui fait de l’arbre un allié des productions agricoles.
En 2011 et 2012, la commune de Nîmes décide de faire abattre 80 platanes et micocouliers du secteur sauvegardé de la ville pour les remplacer par les abribus d’un futur Tram’bus. Des habitant·es se mobilisent alors contre l’abattage illégal de ces arbres centenaires.