« Il est difficile de s’engager corps et âme dans une marche de plusieurs jours. Marcher ainsi, c’est relever la tête, arpenter l’espace public. Marcher ainsi, c’est arrêter le rythme habituel de ses journées pour se lancer dans l’inconnu, au gré des évènements qui ne manqueront pas de ponctuer l’aventure », explique François Vaillant, militant de la non-violence (1).




