Ce dossier développe ce qui peut être fait pour adopter les pratiques les plus écologiques et équitables possible… au sein de la filière et du marché de la fleur. Comment prolonger cette réflexion pour aller vers la décroissance ?
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Ce dossier développe ce qui peut être fait pour adopter les pratiques les plus écologiques et équitables possible… au sein de la filière et du marché de la fleur. Comment prolonger cette réflexion pour aller vers la décroissance ?
Fleuriste indépendante à Montreuil et engagée dans une démarche écologique, Loyce Hébert partage ici quelques-unes des questions qu’elle se pose, comme autant de défis à relever au quotidien.
Qu’en est-il de la production de fleurs en France ? Quels défis se posent pour la transition du secteur horticole vers des pratiques agroécologiques ? Voici le témoignage de Félix Romain, de La Ferme florale urbaine, sur les toits de l’hôpital Robert-Debré du 20e arrondissement de Paris.
Les fleurs que l’on achète, en dépit de tout leur capital de sympathie, sont majoritairement produites industriellement et n’échappent pas aux lois de la finance ni de l’économie marchande. Le marché mondial de la fleur a des conséquences désastreuses tout au long de son parcours, des conditions de travail dans les fermes aux pollutions dans les champs et chez les fleuristes, en passant par l’appauvrissement variétal.
Recycler, la solution à la production de déchets ? Pas si simple, alerte Flore Berlingen, ancienne directrice de l’association Zero Waste France et auteure de Recyclage, le grand enfumage. Une politique du tout recyclable pousse à la consommation et à la production de déchets et entretient l’ère du jetable au lieu de nous aider à en sortir. Entretien.
Une très jolie BD dynamique et didactique vous dira tout de l’avenir de vos déchets. On se laisse très rapidement embarquer par notre guide, qui se met en scène découvrant l’industrie des déchets, des décharges aux incinérateurs.
Le « développement durable » n’a jamais réussi à infléchir le rythme de destruction de la planète. Ce concept trop flou, né en 1992, a surtout servi à masquer l’inefficacité de nos politiques. Une autre expression a émergé en 2002 : « l’économie circulaire ». Mais c’est encore un cache-misère pour retarder la nécessité de la décroissance.
En mai 2020, La Boucle verte, qui se définit comme « start-up de l’économie circulaire », basée en Haute-Garonne, a publié un texte expliquant les raisons de l’arrêt de son activité. Il nous a donné à réfléchir et nous en publions ici des extraits.