Les basses technologies, késako ? Quelles sont leurs particularités, et en réaction à quoi ce mouvement se développe-t-il ?
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Les basses technologies, késako ? Quelles sont leurs particularités, et en réaction à quoi ce mouvement se développe-t-il ?
« L’aventure de la croissance s’arrêtera, c’est une certitude. » C’est l’une des conclusions que Philippe Bihouix tire de l’état de l’exploitation et des réserves de ressources et matières premières au niveau mondial. Dans cette perspective, l’aventure des high tech est condamnée à s’arrêter également. L’avenir est aux basses technologies, économes en énergie et en matières premières : autant s’y préparer.
Porter un projet à la fois écologique et social n’est pas toujours chose aisée. C’est pourtant le pari réussi d’Habitats libres en Poitou, qui a animé au printemps 2021 un chantier participatif de construction d’une yourte d’activités au sein de la résidence Habitat jeunes Kennedy.
Si l’habitat léger peut être une réponse à la précarité économique, il engendre une précarité administrative. Aucune législation claire ne vient accompagner l’installation en habitat léger, qui est freinée par des contraintes démesurées. Quelles stratégies faut-il adopter face à cette inertie ?
Quatre associations se mobilisent particulièrement aujourd’hui pour promouvoir l’habitat léger. Désobéissance fertile, Halem, Habitats libres en Poitou et Hameaux Légers, des approches complémentaires qui réinterrogent notre façon d’habiter.
La crise du logement rend l’accès à l’habitat de plus en plus difficile, pendant qu’en parallèle, l’artificialisation des sols accélère dangereusement la destruction des écosystèmes. Face à ce désastre écologique et social, l’habitat léger fait son chemin.
Comment agir pour protéger les arbres et forêts existantes ? Voici quelques exemples qui, en montrant une diversité de champs d’action, pourront peut-être aider chacun et chacune à se mobiliser.
Le volet forêt du plan de relance lancé en décembre 2020 « vise en particulier à adapter la forêt française au changement climatique ». L’objectif est de planter 50 millions d’arbres et de reboiser 45 000 hectares. Une aubaine pour la forêt française et la planète ? Plutôt le contraire, dans la droite ligne des erreurs du passé.