En plus des conséquences écologiques qu’impliquerait la construction d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes, cela aurait aussi des conséquences sociales et humaines dramatiques.
En effet, il ne semble pas inutile de rappeler que les 1650 hectares de bocage destinés à être bientôt recouverts de béton sont habités par des gens, qui y ont leurs maisons, leurs fermes, leurs vies.
Rencontre avec l’un de ces « expulsables » en lutte.