Si la voiture créé des pollutions en ville, elle pose tout autant de problèmes à la campagne.
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Si la voiture créé des pollutions en ville, elle pose tout autant de problèmes à la campagne.
L’année 2018 a été une période charnière pour la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Le mouvement contre l’aéroport doit maintenant sauver ses projets et ses terres contre l’agro-industrie et pour cela se lance dans une nouvelle aventure : tenter de racheter les terres par le biais du fonds de dotation La Terre en commun.
Max et Virginie ont installé leur jardin aromatique et médicinal, Le Très petit jardin, dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes en 2016, marquant ainsi leur soutien à la lutte contre le projet d’aéroport, leur certitude de gagner et leur envie de partage et de pratiques autogestionnaires. Un an après la « victoire », qu’en est-il ?
En quoi la situation après l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes est-elle une victoire... ou une défaite ? Quelles sont les répercussions de cette lutte, puis de l’abandon du projet, sur le paysage militant ? Les regards croisés de Geneviève Coiffard, active dans la résistance locale, de Maud, membre du collectif de solidarité du Rhône, et d’Anahita Grisoni, chercheuse engagée contre les Grands Projets Inutiles et Imposés.
1963 : Début du projet d’aéroport du Grand Ouest (ou de Notre-Dame-des-Landes), mis en sommeil après le choc pétrolier de 1973. 2000 : Le projet d’aéroport à NDDL est ressorti des cartons par le gouvernement Jospin. Création de l’Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet (...)
Les matières naturelles, c’est bien ; encore faut-il que les plantes aient été cultivées le plus sainement possible en respectant l’environnement et les travailleu·ses, et que le processus de transformation soit lui aussi sain. Cela passe autant par le travail des fibres que par l’utilisation des teintures. Focus sur trois matières naturelles.
Avec 1, 2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre émis chaque année, soit plus que les vols internationaux et le trafic maritime réunis, l’industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante au monde après celle du pétrole. Derrière débardeurs et culottes se cache une industrie mondialisée destructrice de l’environnement, et qui exploite femmes et hommes. Depuis que la mode jetable (la fast fashion) est devenue dominante, difficile de sortir de ce modèle d’exploitation mondial…
On ne va pas déstabiliser l’industrie du textile en refusant d’acheter une paire de chaussettes. Mais il y a quand même d’autres options que de renouveler trois fois par an ses robes en grande surface. Entre les adeptes du coton bio et les inconditionnel·les des friperies, quelles sont les alternatives les plus écolos ?