Depuis juillet 2019, les terres de Cédric Herrou, dans les Alpes-Maritimes, sont devenues une communauté Emmaüs qui propose ses productions bio en circuit court. Personnes solidaires et sans-papiers y cultivent un avenir commun.
Depuis juillet 2019, les terres de Cédric Herrou, dans les Alpes-Maritimes, sont devenues une communauté Emmaüs qui propose ses productions bio en circuit court. Personnes solidaires et sans-papiers y cultivent un avenir commun.
Au frontispice de l’école des mines pourrait être gravé un axiome qui semble dicter toute la stratégie du petit monde nucléaire : « Un mensonge répété mille fois devient une vérité ». Dans le monde orwellien du lobby atomique, cette mauvaise habitude s’est ainsi normalisée. S’infiltrant dans les moindres interstices de l’administration et du monde politique, le corps des Mines dicte depuis des décennies la politique énergétique du pays. Ce grand corps malade, pour puissant qu’il soit, se nécrose par manque d’air. Les quelques centaines de « mineurs » entraînent dans leur chute un pays et son économie. Véritables militants radicalisés de la cause atomique, rien ne peut les dissuader de promouvoir une technologie qui a pourtant maintes fois fait la démonstration de son incurie.
Marcher au cœur du Madhya Pradesh amène à découvrir le sens de l’accueil des communautés villageoises. Nous sommes Jai Jagat (en hindi : la « victoire de tou·tes ») et, à cinquante, cheminons de villes en villages. Au-delà des cérémonies d’accueil où les colliers de fleurs abondent et les discours parfois s’étendent, c’est l’occasion d’interroger les gens sur leurs conditions de vie et de mieux comprendre leurs besoins.
Est-il possible de mesurer la paix et son évolution ? C’est ce à quoi s’essaye l’Institut pour l’économie et la paix avec l’« indice mondial de la paix » (GPI).
“Si nous sommes incapables de répondre aux exigences de production, le cadre devient injurieux, nous bat, ou nous propose des choses révoltantes. Si nous ne nous conformons pas aux exigences, alors nous sommes harcelées à longueur de temps, verbalement et sur nos téléphones portables.”
Il est bientôt 19h30 ce dimanche 15 septembre 2019 sur le pont Wilson occupé depuis midi par plus de 100 militant·es d’Extinction Rébellion Lyon.
Osons affirmer que la fin du monde se conjugue au passé ! Les premières alertes du Club de Rome ou de Rachel Carlson (avec son livre Printemps silencieux publié en 1962) datent d’il y a plus d’un demi-siècle. Or, l’effondrement des écosystèmes n’est pas un processus instantané.
Il n’y a pas si longtemps, chacun·e avait pour habitude de rapporter ses bouteilles en magasin. En échange, on récupérait une pièce : la consigne. Une technique simple et efficace pour réutiliser les pots en verre après les avoir lavés. Mais, au début des années 1990, avec la prolifération des emballages à usage unique, la consigne a disparu.