Depuis le 27 mai 2025, à défaut d’avoir explicitement fait part de votre refus, Facebook utilise vos informations personnelles sur « la base de ses intérêts légitimes » afin d’entraîner son intelligence artificielle.
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Pendant dix ans, plus de 800 000 tonnes de déchets industriels ont été enfouies à Montchanin, en Saône-et-Loire, et leurs effluves toxiques ont empoisonné la santé des riverain·es. Lorsqu’enfin, poussé par la mobilisation locale, le scandale éclate dans les médias nationaux, la décharge est fermée… mais que faire des déchets chimiques ?
Quoi de plus logique que de commencer cette nouvelle chronique par une plante que tout le monde connaît, et qui est tellement précieuse pour nous, les animaux d’élevage, les cultures et le sol. Sa brûlante piqûre la rend facilement reconnaissable. Il existe plusieurs espèces aux mêmes propriétés, mais la grande Ortie Urtica dioica est la plus couramment utilisée.
Une première : Ce lundi 16 juin, alors que s’ouvrait le 55è salon international de l’aéronautique et de l’espace, à l’aéroport du Bourget, en Seine-Saint-Denis, les stands d’Israëll Aérospace Industries (IAI), Rafael, Uvision, Elbit et Aeronautics ont été ceints de hautes bâches noires par le gouvernement français. Nous devrions nous réjouir d’un tel blocage. Pourtant il y a comme un goût d’hypocrisie et d’inachevé fort gênant.
Les citations de cette chronique sont extraites du livre Répertoire des subversions. Art, activisme, méthodes, de Martin Le Chevallier, éd. Zones, 2024.
Pour relancer le port de Bordeaux, un terminal méthanier doit massacrer l’estuaire de la Gironde, lieu d’habitat d’espèces protégées. La lutte de 2006 à 2009 finira par l’emporter !
Nous avons pris l’habitude de vivre dans un monde surveillé à chaque instant par des dispositifs technologiques, au service de puissances politiques ou économiques. Les caméras de surveillance sont une illustration particulièrement parlante de cette dérive. Heureusement, des artistes et des activistes ont imaginé des actions créatives pour critiquer ou déjouer cette surveillance.
J’avais douze ans ; plus tout à fait un enfant mais pas encore un adolescent. L’âge où la confiance en l’adulte n’est plus aveuglément rassurante, cet âge où l’appel du large joue ses premières notes d’une voix éraillée. Moment périlleux s’il en est durant lequel l’enfant s’essaie à la liberté, émancipation possible qu’à la seule condition d’avoir été protégé sans avoir été étouffé. Espace-temps où tout n’est qu’intensité, découverte et émerveillement.