Se passer d’internet, et même d’ordinateur, est la solution idéale d’un point de vue purement écologique. Mais d’un point de vue social, cette résistance pose des problèmes administratifs et professionnels, aussi s’avère-t-elle difficile à rendre désirable. Nous entraider davantage permettrait des compensations, mais l’individualisme n’est pas facile à ébranler, surtout en ville : c’est là un enjeu politique majeur. Mais, si on ne peut se passer (momentanément ?) ni d’ordinateur, ni d’internet, on peut au moins rendre son usage aussi peu nuisible que possible...