Depuis les élections municipales de 2008, la commune de Tordères, 180 habitants, essaie de fonctionner en démocratie participative. Une expérience qui se poursuit avec un deuxième mandat.
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Depuis les élections municipales de 2008, la commune de Tordères, 180 habitants, essaie de fonctionner en démocratie participative. Une expérience qui se poursuit avec un deuxième mandat.
A Carcassonne, après avoir connu la dérive industrielle et la reprise en main par un fonds de placement, une fabrique de glaces a été rachetée par une partie de ses salariés et continue sous forme de coopérative.
Issus de la philosophie des Lumières et de la Révolution française, trois grands courants de pensée : laïque, religieux et révolutionnaire, revendiquent d’avoir été à l’origine du mouvement de l’éducation populaire. Comment s’est développée cette dynamique jusqu’à aujourd’hui ?
Un véritable essaimage d’expériences indépendantes d’éducation populaire, sous forme de SCOP (1) ou d’associations 1901, ont fait leur apparition au cours des quinze dernières années. L’exemple du Contrepied, en Bretagne, est significative de cette nouvelle génération.
« Une éducation populaire qui ne dérange pas le système, l’arrange » (1), aiment à dire les membres de la coopérative d’éducation populaire La Trouvaille. Silence les a interrogés sur le renouveau des pratiques actuelles et sur la place de l’écologie dans celles-ci.
Pour en savoir davantage sur les dynamiques actuelles, Silence est allé à la rencontre de plusieurs acteurs de l’éducation populaire. Le Caravanserail Café, situé à Villeurbanne, et les branches lyonnaises du Planning Familal, des MJC et du Crefad, lèvent le voile sur quelques questionnements qui les animent.
Malgré la faible présence de l’écoféminisme aujourd’hui en France, les points communs entre le combat écologique et les féministes ont fait partie des préoccupations des féminismes français dès leurs débuts.
Allier féminisme et décroissance implique de concilier des exigences qui paraissent à première vue contradictoires : comment accommoder la recherche féministe de l’égalité salariale avec la critique antiproductiviste du salariat ? La revendication de l’accès des femmes au travail productif avec la valorisation, par la pensée décroissante, du travail non marchand ? Un dossier de la revue Moins ! consacré au genre et à la décroissance (1), fait un intéressant tour d’horizon de ces questions.