Et si, abandonnant nos découpages territoriaux actuels, nous nous organisions autour de « biorégions » calquées sur les régions naturelles ? Telle est la proposition, utopique à ce jour mais stimulante, du biorégionalisme.
Pour taguer les articles qui appartiennent à un dossier
Et si, abandonnant nos découpages territoriaux actuels, nous nous organisions autour de « biorégions » calquées sur les régions naturelles ? Telle est la proposition, utopique à ce jour mais stimulante, du biorégionalisme.
Chauffage au bois, transport routier, usines… la Haute-Savoie, plus particulièrement la vallée de l’Arve, concentre des activités très polluantes. Comment renverser la tendance quand la pollution est quotidienne et omniprésente ?
Face au problème de la pollution, comment mobiliser et permettre la réouverture des possibles ? Fin 2013, l’idée est née de créer un collectif de citoyen·nes, réunissant des réseaux libérés des logiques de pouvoir institutionnel : les Poumons de Paris.
Que peuvent faire des habitant·es face à la pollution de l’air ? Retour d’expériences avec Gérard Françon de l’association l’Air des Lyonnaises et des Lyonnais, qui a su acquérir et transmettre des connaissances spécifiques sur la pollution atmosphérique puis faire le lien entre implication citoyenne et pouvoirs publics.
La qualité de l’air, dont un être humain respire 12 à 15 mètres cubes par jour — air qui lui est indispensable par l’oxygène qu’il contient —, constitue un enjeu de santé préoccupant et ancien. Les mauvaises odeurs, les fumées industrielles, sont aussi anciennes que les activités humaines. Mais comment les activités polluantes et le regard scientifique et social que l’on porte sur la pollution de l’air ont-ils évolué ? Retour historique.
En écologie, la biodiversité d’un milieu est valorisée comme étant le signe du caractère foisonnant et multiple de la vie, elle en assure la richesse et la résilience. Pour la biologiste Brigitte Baptiste, il en va de même pour la diversité des genres et des orientations sexuelles au sein de la vie sociale.
Certains milieux de la sphère écologiste émettent une critique virulente du changement du sexe en pointant du doigt la dérive technologique que cela entraînerait. Les opérations chirurgicales et les prises d’hormones liées à la transition sexuelle seraient des porte-flambeaux de la technoscience et du capitalisme technologique.
La complémentarité d’une approche écolo avec les approches queer ou LGBT+ est loin de faire l’unanimité dans le champ de l’écologie. Quels sont les arguments des groupes qui s’y opposent ?