Pierre-Emmanuel Weck, photographe, habite à Avallon, dans le sud de l’Yonne. Il nous présente quelques initiatives de son voisinage en photos.
Pierre-Emmanuel Weck, photographe, habite à Avallon, dans le sud de l’Yonne. Il nous présente quelques initiatives de son voisinage en photos.
Depuis 2015, en seulement trois ans, à partir d’un appel lancé par deux couples nouveaux arrivants, la commune de Mâlain, à 20 km à l’ouest de Dijon, a vu se développer tout un chapelet d’initiatives écologiques et solidaires.
Une ancienne scierie a été transformée en groupement d’ateliers pour une douzaine de professionnels, une partie en salle commune et salle d’activités. Un lieu où les dynamiques alternatives s’additionnent.
L’Association Jouer pour vivre s’est donné un objectif : promouvoir les droits des enfants à jouer. Pour y parvenir, elle propose aux écoles primaires le projet de la Boîte à jouer : un coffre à jouets géant, posé dans les cours de récréation, rempli d’objets recyclés avec lesquels tous les enfants de l’école peuvent jouer librement en même temps.
En 2017, les Rencontres ludiques, qui regroupent des professionnel·les du jeu, ont souhaité approfondir la question du jeu et du risque. Retour sur l’atelier « ces jeux turbulents qui nous turlupinent… »
La Maison des jeux de Grenoble, c’est 350 m² d’espace dédié au jeu. Et c’est surtout la conviction que le jeu est une pratique libre et gratuite qui doit se vivre pour le plaisir.
Entretien avec Claude, salarié.
Le jeu est vu tour à tour comme une activité participant au développement de la parentalité positive, de la réflexion sur l’écologie et le gaspillage, etc., ou comme une marchandise banale. Peu considéré dans le combat pour l’émancipation, le jeu offre pourtant des passerelles discrètes et de puissants leviers de conscientisation et d’action, si l’on en mesure la portée.
Au sud du Larzac, depuis 1991, le site de Cantercel accueille un lieu d’expérimentation d’architecture en osmose avec le paysage.
Selon le principe holistique qu’il n’y a pas de déchets dans la nature, l’humusation, compostage optimal et ritualisé des corps, fait partie intégrante (bien qu’en pointillés pour l’instant) de la permaculture.
Silence rencontre de nombreuses initiatives dont le degré d’« alternative » et d’autonomie face aux servitudes technologiques, monétaires, politiques, varie beaucoup. Ces expériences nous permettront-elles de faire face à un possible effondrement systémique dans les années et les décennies à venir ?
Rutger Bregman, jeune historien et journaliste hollandais, est très en vogue depuis la parution de son livre Utopies réalistes en 2017. Il n’est pas proche de Silence mais défend pourtant sans relâche des propositions qui nous intéressent.
Le quartier libre des Lentillères est un quartier maraîcher bigarré né en 2010 à Dijon pour revaloriser et cultiver des terres à l’abandon et menacées par un projet immobilier.
Le dernier album de HK et les Saltimbanks en appelle aux « rallumeurs d’étoiles ». De poétiques cousins des « explorateurs d’alternatives » de Silence, n’en doutons pas. Une parenté qui méritait bien une rencontre...
Des confitures avec les invendus de supermarché. Il fallait y penser. Colette Rapp rattrape in extremis les fruits et légumes prêts à vaciller dans le puits du gaspillage alimentaire. En France, sur 10 tomates produites, seules 6 sont mangées, les autres jetées. Reportage à Romainville (Seine-Saint-Denis).