De la Bourgogne à la Guadeloupe et à Mayotte, les habitant·es mobilisent des formes de débrouille collective face aux sécheresses et aux défaillances des services publics.
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De la Bourgogne à la Guadeloupe et à Mayotte, les habitant·es mobilisent des formes de débrouille collective face aux sécheresses et aux défaillances des services publics.
Les femmes et les féministes qui se mobilisent contre la militarisation doivent mener un double combat : à la fois contre les guerres et contre les hommes qui les oppriment au sein de leurs mouvements. Cela a mené une partie d’entre elles à fonder des réseaux autonomes de femmes.
« Vandana Shiva et Maria Mies, dans leur ouvrage de référence, Écoféminisme, considéraient que cette notion est née de deux grandes dimensions, à ses débuts : la critique du nucléaire, notamment militaire, et les luttes contre les bases militaires. »
Lutter contre la militarisation, c’est possible ! En voici cinq exemples à Lyon et alentour, à travers des portraits de femmes engagées contre les guerres.
Des mouvements féministes pour la paix, contre la guerre et la militarisation ont émergé depuis plusieurs décennies en Israël et en Palestine.
La guerre est, très majoritairement, une affaire d’hommes. En France et aux États-Unis, 83 % des effectifs de l’armée sont masculins. (1) Dans de nombreux pays, les armées se sont ouvertes ces dernières années à des contingents féminins. Il y a une entreprise de revalorisation de l’image de marque de l’armée via le féminisme.
Lors de la première action publique du Mouvement de libération des femmes (MLF), le 26 août 1970 à Paris, les militantes féministes viennent déposer une gerbe de fleurs en hommage à « la femme du Soldat inconnu » sur la tombe de celui-ci, au pied de l’Arc de triomphe. Elles sont arrêtées par des hommes en uniforme avant d’avoir pu atteindre leur objectif. Sur une de leurs banderoles, on peut lire : « Il y a plus inconnu que le Soldat inconnu : sa femme. »
Depuis deux ans, l’association La Maison phare a mis en place un marché d’aliments bio en plein cœur d’un quartier populaire de Dijon. Comment définir un prix juste qui permette une pérennité au projet sans être stigmatisant ? Lysandre, étudiante en agronomie, nous fait un bilan des réflexions.