Silence a rassemblé des membres des syndicats SUD-Solidaires, FSU et CGT pour discuter de syndicalisme et d’écologie. L’occasion de mettre l’accent sur les perspectives de convergences au-delà des clivages souvent affichés.
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Silence a rassemblé des membres des syndicats SUD-Solidaires, FSU et CGT pour discuter de syndicalisme et d’écologie. L’occasion de mettre l’accent sur les perspectives de convergences au-delà des clivages souvent affichés.
La crise climatique, et plus globalement environnementale, remet en cause notre écosystème et modifie déjà les conditions de vie sur notre planète. Pour limiter le réchauffement, nos modèles de production doivent immédiatement s’engager dans un processus de transition radicale.
Depuis 2010, Serge Le Quéau, irréductible militant du syndicat Solidaires dans les Côtes d’Armor, se bat aux côtés d’ouvrièr·es de l’agroalimentaire empoisonné·es par des pesticides.
L’Association Jouer pour vivre s’est donné un objectif : promouvoir les droits des enfants à jouer. Pour y parvenir, elle propose aux écoles primaires le projet de la Boîte à jouer : un coffre à jouets géant, posé dans les cours de récréation, rempli d’objets recyclés avec lesquels tous les enfants de l’école peuvent jouer librement en même temps.
En 2017, les Rencontres ludiques, qui regroupent des professionnel·les du jeu, ont souhaité approfondir la question du jeu et du risque. Retour sur l’atelier « ces jeux turbulents qui nous turlupinent… »
La Maison des jeux de Grenoble, c’est 350 m² d’espace dédié au jeu. Et c’est surtout la conviction que le jeu est une pratique libre et gratuite qui doit se vivre pour le plaisir.
Entretien avec Claude, salarié.
Le jeu est vu tour à tour comme une activité participant au développement de la parentalité positive, de la réflexion sur l’écologie et le gaspillage, etc., ou comme une marchandise banale. Peu considéré dans le combat pour l’émancipation, le jeu offre pourtant des passerelles discrètes et de puissants leviers de conscientisation et d’action, si l’on en mesure la portée.
En Rhône-Alpes, un groupe de paysan·nes travaille depuis 2004 pour reprendre en main collectivement le maintien, la sélection et la culture de variétés paysannes de céréales. Le « groupe blé » de l’ARDEAR Auvergne-Rhône-Alpes — qui rassemble une quarantaine de fermes où sont produits céréales, farines et pain — témoigne ici de ce travail.