Le terme d’effondrement, si utilisé aujourd’hui, ne serait pas que « l’effet d’une surenchère dans l’alarme grandiloquente ». Il faudrait se garder de disqualifier trop vite le catastrophisme actuel. Voilà le point de départ de la réflexion de Luc Semal, qui explore le sujet dans ses nuances et ses ambivalences.