La complémentarité d’une approche écolo avec les approches queer ou LGBT+ est loin de faire l’unanimité dans le champ de l’écologie. Quels sont les arguments des groupes qui s’y opposent ?
La complémentarité d’une approche écolo avec les approches queer ou LGBT+ est loin de faire l’unanimité dans le champ de l’écologie. Quels sont les arguments des groupes qui s’y opposent ?
Visite dans un lieu collectif au cœur de la forêt, qui cultive à la fois l’autogestion, les solidarités, l’écologie et un féminisme ouvert à la diversité des genres et des orientations sexuelles.
Les luttes queer se caractérisent régulièrement par leur caractère exubérant et sulfureux. Cette manière de militer permet à leurs protagonistes d’aborder les combats écologistes, parmi d’autres, à partir de leur point de vue spécifique.
« Les mêmes forces qui attaquent nos communautés sont aussi celles qui épuisent la planète », explique le collectif Queers4Climate Nederland. La convergence entre luttes queer et luttes écologistes mais aussi féministes, antiracistes, etc., est d’abord le fruit d’une nécessité : résister à une oppression commune.
Mouvements écologistes et LGBT+ cheminent ensemble depuis des décennies déjà. Retour sur un compagnonnage trop méconnu.
En France, une femme meurt tous les deux jours assassinée par son conjoint ou son ex-conjoint. Depuis le 30 août 2019, des centaines de « colleuses » se mobilisent dans tout le pays pour dénoncer les féminicides dans l’espace public.
Comment peut-on se défendre quand on est confrontée à la violence en tant que femme ? La question est à la fois personnelle et politique. Il ne faut ni être une féministe aguerrie ni une spécialiste des arts martiaux pour pratiquer l’autodéfense… Toutes les femmes ont d’ailleurs déjà mis en place des stratégies pour se protéger ! Mais alors, qu’est-ce que l’autodéfense féministe ?
La question du genre est de plus en plus évoquée dans les programmes de l’Education nationale. Nous avons interrogé ceux et celles qui agissent dans le domaine de l’éducation alternative sur leurs pratiques en ce domaine.
Face au réchauffement climatique, Jon Palais montre en s’appuyant sur son expérience au sein de groupes comme Bizi !, Alternatiba, ANV-Cop21, qu’il est possible d’agir pour provoquer un changement de société. Il avance qu’il faut réunir certains éléments : discipline, souci d’intégrer les personnes à (...)
Comment un collectif d’habitants d’une petite commune du Gard a-t-il réussi à faire échouer un projet d’implantation d’un gigantesque entrepôt logistique ? C’est ce que nous apprend ce livre, résultat d’un travail d’analyse et de recherche très poussé. Face au secret et au manque de concertation de la (...)
Nous sommes vers 2100 et depuis soixante ans, un régime écologiste autoritaire s’est mis en place au niveau mondial pour essayer de sauver la biodiversité. Quand le GIEC présente son dernier rapport, les dirigeant·es prennent peur : les indicateurs montrent une amélioration, ce qui risque de provoquer (...)
En 1931, la République est proclamée en Espagne. La gauche trop triomphante et divisée est battue aux élections de 1934. En octobre de cette année, communistes et anarchistes essaient de lancer une « révolution sociale ». L’armée intervient. En Asturies, une région au nord du pays, les mineurs prennent les (...)
Dès 6 ans. L’autrice, féministe, constate un manque de littérature jeunesse s’adressant aux garçons pour défaire les stéréotypes de genre. Elle dresse dans ce petit livre le portrait, dessins et photos à l’appui, de jeunes garçons ou d’adultes, bien réels, qui ont choisi de porter la jupe, de coudre, de (...)
On connaît les inégalités persistantes de revenus entre hommes et femmes, on sait que les écarts s’accentuent entre les riches et les pauvres, mais on sait moins que les inégalités de patrimoine entre hommes et femmes augmentent plus encore, malgré un droit français égalitaire. La famille, loin d’être (...)
Eddie et Noé sont ensemble à l’école depuis tout·es petit·es. Au collège, les deux enfants décident de relayer la grève pour le climat. Après avoir entraîné Sarah, le proviseur veut les punir… mais Sarah lui rappelle qu’il ne fait rien pour améliorer son établissement scolaire. Après une fête chez Sarah, où (...)
L’autrice, pour rembourser son emprunt étudiant, va traverser le Canada pour aller travailler dans l’extraction des schistes bitumineux. Elle y est magasinière, puis secrétaire. Elle découvre un monde très masculin et très sexiste. Son environnement toxique est d’abord celui du machisme permanent, du (...)
Suite à la troisième rencontre de l’Assemblée féministe transnationale qui s’est tenue le 27 janvier 2024 à l’EHESS à Aubervilliers, ce réseau d’auto-éducation féministe tisse une toile de solidarités dont l’entraide et la lutte se veulent être les fers de lance contre l’impérialisme.
Alors que le patriarcat sévit en Europe et se matérialise par de nombreux féminicides chaque année, l’Espagne avance sur ses questions.
Adapter nos rythmes de travail aux variations des corps, aux variations hormonales des femmes en particulier, devrait nous inspirer pour ralentir et décroître. Afin d’aligner nos exigences sociales aux cycles du vivant en général.
Reportage dans l’Hérault, à Azillanet, à la découverte d’un chantier écoféministe. Un groupe de femmes, dont certaines vivent dans le village, ont investi un ancien couvent pour quelques jours de chantier sous la bannière de Reprises de savoirs.
Se répartir le travail de subsistance pour éviter d’exploiter les femmes et les paysan·nes ? Telle est la proposition des féministes de la subsistance. Entretien avec Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre.
Dans le monde, la situation des femmes qui avortent est très différente d’un endroit à l’autre, de la légalité à l’interdiction totale, en passant par de nombreuses situations intermédiaires.
Capire, l’Assemblée internationale des peuples et le Forum des peuples ont appelé les artistes féministes à (...)
Contrairement aux idées reçues, les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à prendre le chemin de la migration. Cependant, le fait d’être femme conditionne l’expérience de la migration, car partout, le capitalisme patriarcal est source d’oppression pour celles-ci.
Medea Benjamin, une des grandes figures du pacifisme aux États-Unis, déploie avec son mouvement Code Pink une énergie créative pour combattre les projets guerriers de la première puissance militaire au monde. Entretien.