Après le coronavirus, vient le temps d’une seconde vague, un danger diffus qui entretient un climat de peur, de méfiance et d’inquiétude généralisée. Cette ambiance nullement propice à la réflexion conduit « nos » responsables politiques à tenter d’appliquer les vieilles recettes aigres-douces d’un libéralisme économique qui n’attend que les crises pour s’affirmer et enfin mettre en œuvre les plans d’ajustements structurels qu’ils ou elles n’osaient plus assumer explicitement.