Comment les luttes écologistes et antiracistes peuvent-elles s’allier face aux JO ? Topi Nambour, militant et doctorant en sociologie de la contestation, nous livre son analyse sur le sujet.
Comment les luttes écologistes et antiracistes peuvent-elles s’allier face aux JO ? Topi Nambour, militant et doctorant en sociologie de la contestation, nous livre son analyse sur le sujet.
Pourquoi les organisations écologiques restent-elles en général si blanches ? Dans son dernier ouvrage, Pour une écologie pirate. Et nous serons libres, Fatima Ouassak met en lumière les impensés du mouvement climat et présente son projet écologiste, qui vise la liberté de circuler et la libération de la terre.
La Maison de l’écologie populaire de Bagnolet, Verdragon, a ouvert ses portes en juin 2021. Le lieu commence à transmettre ses idées dans l’espace médiatique mais Verdragon fait face aux défis de l’ancrage local et de l’épuisement des forces. Avec un espoir : essaimer.
En 1956, l’auteur est nommé directeur du département d’histoire et de sciences sociales à l’université Spelman à Atlanta, le plus important établissement pour les Noir·es, du pays. Pendant 7 ans, en pleine mobilisation pour les droits civiques, il retrouve dans la rue les militant·es pour la liberté et (...)
Dès 13 ans. Amélie, 16 ans, est tombée amoureuse d’un skinhead. Fille du maire, lui-même très à droite, elle va participer à une action raciste au moment où l’on annonce l’installation d’un foyer pour jeunes migrant∙es sur la commune. Heureusement, sa mère, sa grand-mère, sa meilleure amie vont lui ouvrir (...)
Il était une fois la rencontre entre Saliou, jeune migrant de 20 ans en demande d’asile, et l’équipe de l’association l’Arbre à poule, ferme pédagogique et agroécologique de Villers-Saint-Paul, dans l’Oise…
Accueillir des personnes migrantes, demandeuses d’asile ou réfugiées, est à la portée de tout le monde, sans besoin d’être expert-es en la matière. L’association Singa met en lien des Français-es et des migrant-es autour de centres d’intérêt ou de métiers partagés, ou encore d’activités artistiques et sportives. Et ça marche !
Denise (pseudonyme) a dû fuir la République Démocratique du Congo traversée par le chaos politique et les massacres. Pour cette mère de famille de 45 ans, l’enfer a continué jusqu’en France. Récit d’un parcours mondialisé.
Quand les jeunes de banlieue prennent la parole, c’est d’abord qu’on veut bien la leur donner. Ce n’est pas sur les plateaux de télévision ou sur les ondes que l’on fera cette expérience… L’occasion était d’autant plus précieuse d’écouter onze jeunes âgés de 16 à 26 ans, venus échanger sur la scène du cinéma Les Amphis, à Vaulx-en-Velin, avec Rokhaya Diallo, journaliste, chroniqueuse et militante antiraciste.
Guinéens, congolais, afghans... Ils sont des milliers de mineurs à partir, seuls, vers la France, pour accéder aux études ou fuir des situations désastreuses. Alors que les départements doivent les prendre en charge, une partie d’entre eux sont délibérément jetés à la rue. Une rude bataille administrative s’engage alors pour ces jeunes qui souhaitent rester sur le territoire.
Le récit des pratiques médicales d’accueil des étrangers malades dans le Bas-Rhin interroge à la fois les conditions de l’engagement des médecins et le double langage des institutions publiques.
Devant l’afflux incessant de réfugiés sur les plages de l’île grecque de Lesbos, un groupe de citoyens a décidé d’occuper un parc public afin de les y accueillir décemment. Les autorités locales ne proposant rien face aux dizaines de bateaux quotidiens, elles tolèrent le camp autogéré de Platanos. Un seul objectif : venir en aide aux réfugiés. Récit d’une journée.
Depuis le 19e siècle, les personnes Sourdes se battent pour que leur culture vive aux comptoirs des cafés, sur les bancs des universités, les planches des théâtres. Refusant d’être « réparées » par le son et les appareils, elles défendent la langue des signes et mettent à mal la vision médicale qui cherche à les « guérir ». Enquête à Toulouse, dont la communauté Sourde est l’une des plus vivaces de France.