La crise sanitaire que nous sommes en train de traverser a permis de rendre visible le travail de celles et ceux qui sont d’ordinaire invisibilisé·es, qui se sont retrouvé·es en première ligne face à la pandémie.
La crise sanitaire que nous sommes en train de traverser a permis de rendre visible le travail de celles et ceux qui sont d’ordinaire invisibilisé·es, qui se sont retrouvé·es en première ligne face à la pandémie.
Un battement d’ailes de chiroptère à Wuhan est en train de faire vaciller nos évidences. Des décennies d’un subtile conditionnement avaient fini par imposer l’idée selon laquelle la croissance ne pouvait qu’être infinie, la mondialisation source de bonheur, le travail la santé. Puis un grain de sable est venu « gripper » cette belle illusion idéologique.
A l’image du reste de la société, le fonctionnement de Silence a été perturbé durant la période du confinement. Nous avons dit adieu à nos locaux et à nos collègues et sommes rentré·es chez nous parler à nos plantes vertes.
L’imposition de vaccins OGM à une grande partie de la population des pays riches sous la menace du COVID-19 n’en finit pas de nous interroger. Quelles sont les logiques à l’œuvre, quels sont les risques associés ? Qu’est-ce qui distingue les vaccins OGM de la question des OGM en agriculture ? Christophe Noisette et Annick Bossu, du média indépendant Inf’OGM, apportent quelques éclairages.
Silence a décidé de se lancer dans la mode, avec en avant-première, la présentation de la collection automne-hiver 2020, dans le respect de la distanciation physique.
Depuis le début du confinement, de nombreux collectifs et individu·es se mobilisent pour dénoncer le renforcement des rapports de domination générés par la gestion par les pouvoirs publics de l’épidémie de SRAS-coV2. Le regard d’Aurélia Léon, doctorante en sociologie chargée d’enseignement à l’université Jean-Monnet.
La gestion sanitaire de la pandémie de Covid-19 a amené le gouvernement a confiner une grande partie de la population à la mi-mars 2020. Ce confinement est arrivé alors que la mobilisation contre la réforme des retraites entamait son troisième mois, que les hôpitaux dénonçaient le manque de moyens depuis plusieurs années… Il a été pour beaucoup difficile d’imaginer les manières de continuer à s’organiser ensemble tout en restant chez soi. Et peu à peu, alors que de plus en plus de personnes chantaient leur soutien aux soignant·es aux fenêtres à 20h, des banderoles revendicatives ont elles aussi fleuri les fenêtres. Pour dénoncer la responsabilité des gouvernements successifs dans la casse de l’hôpital public, l’exposition des personnes les plus précaires ou imaginer un avenir meilleur, ces messages rendent visible une colère, des rêves d’autres possibles, des solidarités, confinées, mais exprimées !