En 2012, Silence publie son 400e numéro. Pour cette occasion, un vaste travail collectif débouche sur un numéro spécial doublé d’un livre, qui met en lumière 400 dates de l’écologie. Retour sur les actualités de la revue cette année-là
En 2012, Silence publie son 400e numéro. Pour cette occasion, un vaste travail collectif débouche sur un numéro spécial doublé d’un livre, qui met en lumière 400 dates de l’écologie. Retour sur les actualités de la revue cette année-là
Après Tchernobyl en 1986, trois réacteurs nucléaires explosent au Japon le 11 mars 2011. Cela ne suffit encore pas pour arrêter le nucléaire en France. L’Allemagne annonce fermer ses réacteurs d’ici dix ans. Retour sur la vie de la revue Silence durant l’année 2011.
Plus pragmatique que le mouvement de la décroissance, le mouvement des villes en transition permet-il d’aller plus loin dans le changement de société ? Retour sur la vie de la revue Silence pendant l’année 2010.
En faisant se rencontrer plusieurs réseaux militants, Silence permet le lancement de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes (Loire Atlantique). Elle débouchera 8 ans plus tard sur une victoire contre le projet de nouvel aéroport de Nantes.
Une souscription sauve la revue et de nouvelles têtes renouvellent l’équipe.
En 2008, année d’élections municipales, Silence interroge une cinquantaine de maires écolos. Seules sept réponses sont reçues et publiées dans le n° 354, de février. En mars, à l’occasion de la semaine sans pesticide, nous (...)
Alternatives et décroissance s’opposent à l’uniformisation et à la normalisation industrielle.
Dans le numéro 331, de janvier 2006, sur les alternatives en Ariège, Dominique Masset, maire d’une petite commune, explique qu’il préfère transformer son village pour aller vers plus d’écologie que de créer un éco-village. Cet article va être cité de nombreuses fois car les analyses sur les éco-villages, (...)
Pour gagner en efficacité, les éoliennes passent à l’échelle industrielle, les coûts baissent et elles s’implantent partout… Ceci en pleine vague altermondialiste.