Dans les ministères français, on étudie les scénarios d’accidents nucléaires, et plus personne aujourd’hui ne doute qu’une catastrophe soit envisageable. Voici quelques scénarios possibles.
Dans les ministères français, on étudie les scénarios d’accidents nucléaires, et plus personne aujourd’hui ne doute qu’une catastrophe soit envisageable. Voici quelques scénarios possibles.
Les autorités multiplient les plans pour gérer un accident. On s’y prépare et ce qui s’est passé à Tchernobyl en 1986 et à Fukushima en 2011 ne laisse augurer rien de bon.
Faut-il un accident nucléaire majeur sur le territoire français pour que nos dirigeants acceptent enfin d’adopter un scénario de sortie du nucléaire rapide ?
À l’été 2011, c’est sans aucune mobilisation d’opposition qu’Angela Merkel mit à l’arrêt huit des dix-sept réacteurs en fonction en Allemagne. Un an après, de l’autre côté du Rhin, cent-cinquante employés et élus locaux barrèrent l’entrée de la centrale de Fessenheim au délégué interministériel chargé par le président Hollande d’assurer sa fermeture.