Un accès à volonté à des produits bio et locaux conventionnés : c’est l’ambition du projet de « Sécurité sociale de l’alimentation ». Le « marché du lavoir », à Dieulefit (Drôme) s’en est inspiré.
Un accès à volonté à des produits bio et locaux conventionnés : c’est l’ambition du projet de « Sécurité sociale de l’alimentation ». Le « marché du lavoir », à Dieulefit (Drôme) s’en est inspiré.
Et si, au lieu de protéger nos côtes avec des digues en béton, nous laissions la mer entrer et composions avec l’environnement ?
« L’année dernière, en fin d’année scolaire, on a eu des périodes de canicule assez compliquées à gérer. On a été obligé de rassembler tous les enfants dans le petit jardin. À cause de la chaleur, il était impossible de rester dans la cour de récréation qui était bitumée en noir », raconte Florent Bourcier, responsable éducation loisirs à l’école de l’Ille, à Rennes (Ille-et-Vilaine).
C’est dans un préfabriqué d’apparence banale que se déroule une expérience sociale. À l’intérieur, Suzanne s’applique sur sa machine à coudre. Sous ses doigts, le pied presseur suture des couches réutilisables. Seul un mur la sépare du hangar où Mustapha applique sa ponceuse sur le fil d’une commode fatiguée. Par l’ouverture d’une porte de garage, on devine le dos de Gaëtan, qui ausculte puis opère le moteur de l’utilitaire stationné dans son garage solidaire. Trois métiers sans lien apparent, réunis entre les murs d’Actypoles, en bordure de Thiers, petite commune du Puy-de-Dôme. Étrange laboratoire où s’expérimente un projet de société. Celui des « territoires zéro chômeur de longue durée » (TZCLD), engagé en 2016 dans treize communes de France.
La vente de produits agricoles en circuit court crée bien des emplois, conclut une étude menée dans la métropole rennaise. Ce mode de commercialisation possède aussi la vertu de rendre au producteur son autonomie.
Il y a le père, la mère et leur fille. La famille vit en banlieue parisienne, dans une barre HLM. Une rencontre avec un paysan sans terre du Bangladesh lui fait prendre conscience de la nécessité d’une transition écologique. « Alors, qu’est-ce qu’on fait ? », se demandent souvent ces trois protagonistes. (...)