D’origine anglo-saxonne, l’hortithérapie constitue une forme d’accompagnement au soin bien spécifique. Elle s’adresse à des personnes souffrant de troubles psychiques autant que somatiques et concerne notamment les enfants comme les seniors.
D’origine anglo-saxonne, l’hortithérapie constitue une forme d’accompagnement au soin bien spécifique. Elle s’adresse à des personnes souffrant de troubles psychiques autant que somatiques et concerne notamment les enfants comme les seniors.
A Maule, dans les Yvelines, des personnes atteintes de lésions cérébrales se retrouvent chaque semaine pour jardiner dans l’enceinte d’un foyer médicalisé. Engagés depuis plus de quinze ans dans des expériences d’hortithérapie, Anne et Jean-Paul Ribes, qui ont fait germer le projet, apportent la démonstration qu’un jardin peut aider à tenir debout
L’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes « Les Aurélias » est situé à Pollionnay, dans les collines, à quelques kilomètres à l’ouest de Lyon. Il existe depuis 25 ans et accueille 80 personnes (1).
Dans sa ferme des monts du Lyonnais, aidée par Accueil paysan et le réseau ASTRA (1), Claudette propose des activités pour apporter du bien-être à des personnes en difficulté. C’est là que les animaux entrent en jeu pour nous soigner eux aussi.
n° 13, décembre 2018.
Les zones blanches (non couvertes par le réseau de téléphonie ou d’internet mobile) sont devenues peau de chagrin en France et se situent le plus souvent dans des régions montagneuses et peu habitées. Alors que des associations se mobilisent pour dénoncer les dangers de l’omniprésence des ondes, quels sont les enjeux de la préservation de territoires « sans ondes » ?
En cette année anniversaire de mai 1968, quel bilan peut-on faire de l’héritage de la révolution contre-culturelle ? Les logiques de marché ont-elles fini par récupérer son énergie subversive ? Sociologue et urbaniste, Anahita Grisoni s’est penchée sur la santé naturelle. Elle interroge la notion de « réforme de soi » et son lien au changement politique et social.
Mieux vaut prévenir que guérir. Tel est l’état d’esprit des 289 personnes qui ont expliqué leur rapport à l’écologie et la santé dans l’enquête réalisée en début d’année par Silence auprès de son lectorat. Si pour les maux quotidiens, les répondant-es ont en général développé une forte conscience écologiste, cela se complique pour les maladies nécessitant des soins réguliers ou à vie.