Lettre au plantain de mon enfance
Depuis tout ce temps,
Eh oui mon cher ami, tu m’accompagnes toujours !
Enfant, je connaissais déjà ton nom, et ce n’était pas parce que j’habitais la montagne, car tu pousses aussi en ville. C’est parce que je te frottais contre mes piqûres d’orties ou de moustiques en chantant « Plantain guéris-moi, c’est l’ortie qui m’a piquée »… Je te reconnaissais facilement avec tes grosses nervures parallèles qui t’assurent la résistance au piétinement.
Depuis tout ce temps,
Eh oui mon cher ami, tu m’accompagnes toujours !
Enfant, je connaissais déjà ton nom, et ce n’était pas parce que j’habitais la montagne, car tu pousses aussi en ville. C’est parce que je te frottais contre mes piqûres d’orties ou de moustiques en chantant « Plantain guéris-moi, c’est l’ortie qui m’a piquée »… Je te reconnaissais facilement avec tes grosses nervures parallèles qui t’assurent la résistance au piétinement.