Quand la poésie rejoint la bande dessinée. Trois cases par poème. Ligne claire du dessin et sobriété des haïkus. On voudrait n’en lire qu’un à la fois. Mais c’est beau, reposant, et on tourne les pages… il n’y en a malheureusement qu’une petite centaine. Beaucoup de vent, de mer, d’oiseaux, de pluies, mais aussi le soleil, les rivières, la neige… Un petit bijou !
Éd. Rue de l’Échiquier, 2021, 96 p., 20 €
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