Les ours sur la banquise sont confrontés aux intrusions humaines : un conteneur qui tombe d’un bateau, des hurluberlus qui rêvent de faire fortune et maltraitent leurs chiens et une chouette philosophe… plus un brin de fantastique avec des dieux ours, chien, hibou...Une grande poésie dans cette histoire qui à travers quelques réflexions pose des questions fort intéressantes sur la pollution, les relations humains-animaux, la liberté des animaux domestiques… Très agréable à lire et à contempler.
Traduction : Geneviève Maubille, éd. Dargaud, 2020, 54 p., 10 €