Chronique Féminismes L’Écho féministe

« Féminisme et vie en pleine nature » : oser, essayer, construire en auto-gestion

Fanny Hugues, Lorraine Gehl

« Tu as envie d’allumer un feu sans qu’un mec ne te prenne la boîte d’allumettes des mains ? Tu rêves d’apprendre à fabriquer des constructions pour bien vivre dans les bois ? Tu aimerais nous transmettre tes savoir-faire manuels et féministes ? ». Ainsi commençait l’appel d’un week-end invitant à se réunir les 11, 12, 13 septembre 2020 en mixité choisie entre meufs et mecs trans en Haute-Garonne, dans une forêt appartenant à une coopérative d’habitant·es. Désigné sous le nom de « féminisme et vie en pleine nature », il nous a permis d’expérimenter, à vingt-cinq, un camp en autogestion articulé autour du partage de savoir-faire manuels.

« Tu as envie d’allumer un feu sans qu’un mec ne te prenne la boîte d’allumettes des mains ? Tu rêves d’apprendre à fabriquer des constructions pour bien vivre dans les bois ? Tu aimerais nous transmettre tes savoir-faire manuels et féministes ? ». Ainsi commençait l’appel d’un week-end invitant à se réunir les 11, 12, 13 septembre 2020 en mixité choisie entre meufs et mecs trans en Haute-Garonne, dans une forêt appartenant à une coopérative d’habitant·es. Désigné sous le nom de « féminisme et vie en pleine nature », il nous a permis d’expérimenter, à vingt-cinq, un camp en autogestion articulé autour du partage de savoir-faire manuels.

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