Interdiction des armes nucléaires : un traité uniquement symbolique ?
Le compte à rebours de l’entrée en vigueur du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN) est lancé. Les 75e commémorations des bombardements atomiques des villes japonaises de Hiroshima et Nagasaki (les 6 août et 9 août 1945) ont été l’occasion choisie par quatre nouveaux États — Irlande, Nigeria, Niue et Saint-Christophe-et-Niévès — pour ratifier le TIAN à l’ONU. Cela porte à 44 le nombre de ratifications sur les 50 requises. Il n’en manque donc plus que 6. Comme des procédures sont en cours parmi les 84 États déjà signataires, l’interdiction des armes nucléaires va devenir, sous peu, la nouvelle norme juridique internationale.
Le compte à rebours de l’entrée en vigueur du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN) est lancé. Les 75e commémorations des bombardements atomiques des villes japonaises de Hiroshima et Nagasaki (les 6 août et 9 août 1945) ont été l’occasion choisie par quatre nouveaux États — Irlande, Nigeria, Niue et Saint-Christophe-et-Niévès — pour ratifier le TIAN à l’ONU. Cela porte à 44 le nombre de ratifications sur les 50 requises. Il n’en manque donc plus que 6. Comme des procédures sont en cours parmi les 84 États déjà signataires, l’interdiction des armes nucléaires va devenir, sous peu, la nouvelle norme juridique internationale.