Numéro 359 - juillet 2008


Alternatives en Seine-Saint-Denis

Depuis 1997 nous avons lancé le concept de numéros régionaux.
Celui-ci est le 18e dossier.

Alternatives en Seine-Saint-Denis

Les murs : Pêches de Montreuil

Non-violence et pensée musulmane

L’image autrement

AdaDa et les cinquante clés

Une Excroissance pour construire le monde

Une maison commune pour femmes solidaires

Sous le toit bleu, desénergies renouvelables

Les Amis de la Terre

Un Réseau au secours du Climat

Pour ne pas être génétiquement manipulés

L’Usine solidaire

Minga, une pépinière de questionnements

(reportages de Michel Bernard)

Psychanalyse

Réchauffement climatique et inconscient (Jacques Janssens)

Yin et yang

La médecine chinoise pour replacer l’homme dans son environnement (Gabriel Corbalan)

Brèves

éducation
habitat
alternatives
agri-bio
décroissance
hommes-femmes
nord-sud
énergies
nucléaire
paix
politique
OGM
santé
environnement
vélo

annonces
courrier
livres

Éditorial

Le 9-3 sur scène

Le département de Seine-Saint-Denis bénéficie d’un traitement médiatique particulier. Ce serait le siège des émeutes, de la délinquance, de l’insécurité… et puis quoi d’autre encore ?
La réalité est bien différente que l’image déformée qu’en donnent des grands médias. Ceux-ci appartiennent à ceux qui ne voient dans la déformation des faits qu’un moyen de critiquer la gestion d’un département longtemps confiée aux communistes.
La désindustrialisation des trente dernières années a produit du chômage, mais a laissé disponibles de vastes espaces.
La gestion communiste a favorisé la transformation de ces lieux en un creuset d’initiatives diverses, propices à l’émergence de nouvelles pratiques alternatives.
Mais leur volonté de tout contrôler se fait parfois pesante, ce qui explique, en partie, le glissement d’une gauche vers une autre.
Aujourd’hui si Montreuil a Dominique Voynet comme maire, où si la communauté de communes de la Plaine-Saint-Denis a Michel Bourgain, maire Vert de l’Ile-Saint-Denis, comme vice-président, c’est sans doute en partie parce que ces communes regorgent d’associations en tout genre.
Nous n’en présentons ici que quelques-unes…
Alors la prochaine fois que vous irez dans la capitale, soyez curieux et n’hésitez pas à franchir la frontière du périphérique et à partir explorer les quarante communes du département.

Michel Bernard